14 juin 2011
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J'aime les discussions avec les enfants à table.
Sacha : "dis, maman, ça existe le Paradis?"
Moi : "tu sais, c'est comme Dieu, certains y croient et d'autre pas"
Sacha : "moi, en tous cas, j'irai au Paradis"
Nino : "moi je sais comment il est le Paradis, il y a plein de jeux pour les adultes."
Sacha : "moi, je sais où il est le Paradis, il est ici !"
Publié par Juliette
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Mes trois amours
9 juin 2011
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06:19
Un gâteau qui allait incroyablement bien avecla mousse aux carambars et que j’ai trouvé sur le blog de tantine
Ingrédients
5 blancs d'œufs
250 g de sucre en poudre
120 g de farine
120 g de beurre fondu et refroidi
100 g de noisettes en poudre
Préparation
1) Préchauffer le four à 160°.
2) Mélanger le sucre, la farine et les noisettes.
3) Ajouter le beurre fondu, bien mélanger les ingrédients.
4) Battre les blancs d'œuf en neige ferme. Les incorporer délicatement à l'appareil sucré.
5) Enfourner pendant 35 min.
6) Laisser refroidir et démouler.
Publié par Juliette
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Recettes
6 juin 2011
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Non loin de Paris et à deux petites heures de chez nous, une sortie à réserver pour les beaux jours de préférence.
La mer de sable est un parc d'attractions très agréable, à taille humaine, aux attractions variéespour les enfants à partir d'un mètre, en dessous ils ne peuvent pas faire grand chose. Prévoyez une tenue adaptée, notamment pour les chaussures et une tenue de rechange, c'est encore mieux.
31 mai 2011
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Un dessert régressif à souhait qui a plu à de très grands ;-)
Ingrédients
25cl de crème Fleurette
125g de Carambar
Préparation
1) Faire chauffer la crème et les Carambars à feu doux en remuant continuellement.
2) Filtrer et verser dans le siphon.
3) Laisser tiédir le siphon avant d’incorporer une cartouche de gaz et de mettre au frigo pour deux heures au moins.
4) Au moment de servir, secouer énergiquement le siphon avant de servir dans des verrines.
Publié par Juliette
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Recettes
29 mai 2011
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15:10
Chère et bonne maman, toi qui dés mon enfance
M'élevas, me nourris,
Accepte ce tribut de la reconnaissance
Que t'offre un de tes fils.
C'est en vain que le soir, le malheur qui m'oppresse
M'ôte la Liberté,
Je vais faire éclater la joie et la tendresse,
De ce coeur enchanté.
Que ne te dois-je point? O mère tant chérie,
Qu'à ton prudent amour.
Lorsque je me retrace avec reconnaissance
Le prix de tes bienfaits,
Je t'admire, et ne peux t'offrir en récompense
Que de tendre souhaits.
Victor Hugo
Publié par Juliette
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Mes trois amours
